Vit-on mieux dans les écolieux qu'ailleurs ?

Le confinement et le travail à distance liés à la crise sanitaire ont rappelé le caractère fondamental des relations humaines (familiales, amicales…) dans le bien-être individuel et collectif. "Dans ce contexte, lit-on dans The Conversation, l'idée d'un retour à un mode de vie plus sobre, plus local, et donc plus résilient devient très attirante. Les habitats partagés et les écolieux, dont c'est précisément la raison d'être, connaissent ainsi une forte croissance de leur nombre. Ces écolieux se définissent selon trois grandes caractéristiques : la vie collective, la recherche de sobriété et l'ouverture sur l'extérieur. On en recense près de 1 000 en France." Alors, y vit-on mieux qu'ailleurs ? Quatre chercheurs répondent dans le média en ligne, évoquant notamment l'indicateur de capacité relationnelle.

A lire : Vit-on mieux dans les écolieux qu'ailleurs ?, Cécile Ezvan, Cécile Renouard, Hélène L'Huillier, Pierre-Jean Cottalorda, The Conversation, 18 février 2021

Mots-clés: coopératives, participation